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...Plastisonneur,
joueur de sax, tuyo, computer, vidéo, images de synthèses,...
Metteur en son et en image, il explore entre concept et intuition
les plis sémantiques innérents aux transformations et
mutations des mondes réels <?!> virtuels... |
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- Trans-naration
/ Trans apparence / trans-cognition / Métanoïa
- Mise en question de nos rapports Réels / Irréels >
Fausse question / vraie réponse...
- Polarisations dynamiques
- Conceptualiser l’effacement final du concept
- Perception de la perception (Abellio)
- Crucifixion du regard |
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> Claire Roudenko-Bertin >
Cherchez l’espace subtil et élastique dans lequel
se déplace l’artiste.
petit hommage à un garçon en balade sur les multiples
chemins de traverses de l'art, traversé lui-même de
tous les chemins qui y mènent,
chaque geste étant poli des luminescences du coeur du geste
même, ce geste étant aussi celui du coeur, ses mouvements,
son état d'échange permanent, sa fluidité,
sa grâce ; de démarche il a la sienne, c'est-à-dire
celle qu'il imprime à sa balade, de son pas qu'on croit né
au contact des planètes gazeuses, mi-patineur mi-voltigeur,
penseur de mondes dans le monde, il nous en montre un répertoire
sensitif dans des formes circonscrites et serrées dans un
médium; et du tube de cuivre au logiciel, elles sortent élastiques,
dansantes et offertes au regard comme à la relation implicite
qu'elles constituent, qu'elles appellent, qu'elles établissent
d'emblée: forme et fonction liées par le tiers, l'autre
!
crb
23/10/05
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Dieu n’existe pas, je l’ai rencontré !.. Critique
de la raison dure.
A chaque instant l’insalubrité de nos rationalisations
perceptives se combine peureusement dans l’occultation de
l’expérience intime du rapport au tout (le grand tout-out).
Nos multiples scories émotionnelles, affectives, sensorielles
filtrées par l’égo, grand contrôleur de
nos lâcher-prise nous ramènent constamment sur le terrain
limité du re-connu, de l’identi-fiable ; enkystés
d’habitudes comportementales, de savoirs pré-digérés,
de dogmes avoués ou non, érigées en lois, se
reflètent constamment dans les croyances laxistes, mais au
combien rassurantes, de nos perceptions subjectives du réel...
wall°ich 2005
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L’instant
est un moyen d’accès dans le présent éternel.
Louis Lavelle (La présence totale)
Et
si l'état du monde n'était qu'une illusion conformée
par l'habitude et l'éducation de nos regards issus du grand
"tout médiatique"...
L'état du monde, des mondes, de quoi parlons-nous ? De la
multiplicité des subjectivités mises au rebut d'une
inter-subjectivité générique / générale
et consensuelle ou d'une ouverture critique des consciences par
la geste créatrice !..
wall°ich 2005 |
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Musiques expérimentables - Dé-mesurées
“ Ils avaient la solution, alors par réaction,
ils s’élancèrent et créèrent l’un-soluble.
“
( in > Précipités : Infimes infinis 1 / wall°ich
1991 )
Tenter d’épuiser le contexte sonore/musical peut parfois
être le propos/l’à-propos d’une proposition
à vivre l’expérimentable, la dé-mesure
> le démesuré !..
Ils l’ont fait, c’est là ; que faire après
le déjà là de la dé-construction ->
choisir le démesuré ? S’y laisser aller, râler
d’en jouir à l’envers des souvenirs maquillés
de savoirs anciens...
Laisser venir les trop-pleins, les pas-assez-vide, les saturations
d’espaces vibrants les hurleurs de silence ; ces immençes
petits précis de matières/espaces qui fondent l’in-ouïe,
l’en-deça du voir.
Flottements dé-composés de lumières texturales,
de drônes spontanés, déguisés, singeant
la geste musicienne, puis la retournant comme en hypothèse
de contraintes contraires. Expérimentables comme si les effets
de ces psychomatières sonores se reflétaient dans
l’improbable, l’llusion de ne plus qu’être
les résonances d’une poésie/poïésie
quantique, d’un au-delà du sens aux trop-pleins du
grand vide.
wall°ich 2005
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- Vous
n’êtes pas là -
Pour une expectative du doute
- Frottements
multidimensionnels et multiformes
> jouent autant dans le domaine de certains principes de perceptions
communément admis : sensoriels, cognitifs, conceptuels,...
qu’à l’endroit où les codes et habitudes
sont remis en cause.
Les barrières perceptives s’effacent, un état
de béance s’installe ; le jeu peut commencer !..
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Hide
entity >< identity
Je n’est pas, s’il est c’est le monde, en présence,
absence, trans-apparence.
Là où l’ego mental(iste) s’octroie son
déploiement et sa perte dans l’abandon de n’être
qu’un creuset. Un lieu de transformation ubiquitaire où
le champ des possibles fond et dissout les résistances à
n’être plus qu’inspiration.
Je est devenu le jeu ; le grand, le petit-aucune importance - lui
en donner - c’est encore se retrouver en anthropomorphose,
en parcimonie, en limites...
wall°ich 2004
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L'instantanéité,
comme quête d'improbables moments réalisés, puis
remis en cause dans l'instant d'une connivence de groupe, que l'on
peut appeler ; composition instantanée. Lieu de lâcher-prise
du S.U. (savoir utile), fragments d'intemporalité où
l'inspiration s'installe souveraine, nous dévoilant parfois
d'incertaines zones non-dites...
wall°ich 2003 |
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